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[r/abby] don't see a point in blaming you.

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Chris Baccari

Chris Baccari

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MessageSujet: [r/abby] don't see a point in blaming you. [r/abby] don't see a point in blaming you. EmptyMar 24 Avr - 21:50


Don't see a point in blaming you
If I were you, I'd do me too
--------------------
Vacances. Le mot est synonyme de chaos dans sa tête. L'illumination que tout autre être humain reconnaît avoir en entendant le mot - comme par exemple une retraite dans les Bahamas, un weekend romantique à Paris - n'est pas du fonctionne de Chris Baccari, sportif, ancien footballer maintenant coach. Les qualifications à venir sont toujours un sujet difficile, une étape à franchir où il sait qu'il devra forcer sa surfeuse plus loin qu'elle ne veut, ou peut, aller. La méthode "Chris", s'amuse à dire les autres entraîneurs pour se moquer de leur équipe nettement meilleur que les autres. Ainsi, quand il décide d'allouer quelques jours à Stella pour qu'elle cesse de faire cette moue dont il a horreur, et éviter qu'elle ne s'évanouisse dans ses bras devant les photographes qui mettront en titre: "Baccari et Weller ensemble?"; il en oublie qu'il devra combler son temps à ne pas être à ses côtés, à lui crier dessus. Rester chez lui dans cette grande maison qu'il a acheté principalement pour que sa mère arrête de juger la chambre ridicule qu'il louait est impossible. Passer le temps n'est pas sa spécialité, surtout car il termine par aller dans un bar, boire quelques verres et ramener une fille dans son lit. Non pas qu'il déteste cette perspective, disons seulement que Chris aime la chasse, et présentement celle qui est dans son objectif lui fait la tête, cherche à trouver l'homme derrière le salaud, ce qui ne risque pas d'arriver de si tôt. Partant du principe qu'il ne mettrait pas les pieds dans un bar ou un restaurant, il fait défiler sa liste de contact jugeant de a à z comment les filles étaient à son souvenir. Par exemple, la suave Abby qui a marqué sa mémoire par son charisme, cette peau vibrante de désir, cette chevelure à l'effluve de fleur et de fruits. Son objectif de la soirée est dorénavant dans son panier, et pour la première fois en tant que gentleman il l'invite au restaurant, car, quoi de mieux pour charmer une demoiselle. Le Rogue Bistro, quatre étoiles merci, est un des meilleurs endroits qu'il connaisse. De un, car ils servent des salades et Chris peut amener Stella sans avoir peur qu'elle s'enfile un burger de trop, mais aussi pour sa carte de bière et vin. Puis avantage, leur menu varié satisfaisait la plupart des clients. Il va au bout du jeux, Chris, il prend une réservation pour trois - oui, parce qu'il s'était fait prendre à ne plus se souvenir des dates exactes de leur "copulation" et il sait qu'elle a maintenant un enfant, mais c'est impossible qu'il soit le père, pas vrai? - prenant pour compte qu'elle apporterait peut-être la petite. Si jamais elle ne le faisait pas, ils auraient une banquette pour deux, quoi de mieux. Chris enfile une chemise, un pantalon qui coûte la beau des fesses, des chaussures assez chique qu'il doit aller faire cirer à chaque trois mois, et se dirige vers le petit bistro qui en cette saison est décoré de lumières, de fairylights rendant l'endroit magnifique. Il est le premier arrivé, heureusement, et il peut donc entré et attendre dans l'entrée la magnifique jeune femme arriver. Ce qu'elle fait après quelques minutes. « Abby, love. You look ravishing. » Son accent australien caressant son palais et chacun de ses mots se perd devant sa silhouette encore plus sublime qu'il ne se rappelait. « Wasn't sure if you'd brought you daughter, I reserved for three. I called very short noticed. » Il tend le bras afin de la conduire jusqu'à leur table, forçant plus qu'il ne le pouvait, certes, il s'amuse et n'est pas chez lui à finir sa bouteille de rhum ou bourbon. Point positif.
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Abby Curtis
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MessageSujet: Re: [r/abby] don't see a point in blaming you. [r/abby] don't see a point in blaming you. EmptyMer 25 Avr - 20:09

Abby regarde le fond d’écran de son téléphone alors qu’un air béat s’affiche sur son visage; la photo de sa fille, les mains pleines de chocolat lui arrache un sourire. Elle range le cellulaire dans sa poche arrière, ignorant par la même occasion les appels manqués et quelques messages de sa génitrice. Elle se dit qu’elle la rappellera plus tard, elle souhaite avancer sur son projet, et connaissant sa mère, il n’est pas impossible qu’elle commence à lui raconter sa vie, et que par conséquent elle se retrouve dans l’incapacité de la couper dans ses dires. Elle se racle la gorge et traverse la pièce, manquant de trébucher sur les jouets de Lottie qui trainent par là. Alors un à un, elle prend la peine de les ramasser et de les balancer dans le caisson qui se trouve non loin de là. Charlotte passe la fin de semaine avec son père - ou la nounou qu’il a jugé bon d’engager -, ce qui lui laisse le temps de souffler un peu. C’est en devenant mère à part entière que la jeune femme s’est rendue compte de la façon dont la société en enjolive le rôle, du temps et de l’énergie qu’il exige. Parce que s’il n’y a aucun doute qu’elle aime sa fille plus qu’elle ne saurait l’exprimer, qu’elle laisserait tout tomber si elle appelait à l’aide, le fait de devoir penser à un nombre incalculable de choses à la fois est franchement épuisant. Alors ce jour-là, Abby décide de travailler chez elle, à partir de son canapé, n’ayant aucun rendez-vous ou tâche précise à effectuer. Elle passe en revue des plans dessinés, gomme et redessine à l’aide des instruments sur une grande feuille qu’elle a posé sur la table de la salle à manger. Elle secoue la tête, elle est rarement complètement satisfaite de ses travaux. Cheveux au vent et chemise à carreau sur les épaules, elle fait les cent pas dans la pièce, main sur le menton. Et quand son moment eurêka arrive, son portable fait à nouveau des siennes; elle grimace mais décide quand même de répondre. A sa grande surprise, le nom qui s’affiche n’est pas celui qu’elle pensait, elle entrouvre les lèvres et a un mouvement de recul; Chris Baccari? Il lui faut quelques secondes avant de se remémorer son identité, mais pas une de plus pour répondre. L’amant d’une nuit lui propose qu’ils se voient et sans réfléchir du tout, elle accepte. Elle raccroche et ne regrette pourtant pas le moins du monde; l’idée de s’évader l’espace de quelques heures lui parait très tentante. Son divorce, sa relation avec le père de sa fille l’a beaucoup marqué, à un tel point qu’il arrive qu’elle s’interdise quelques histoires, par précaution, par peur, elle n’en sait trop rien. Mais pas ce soir, ce soir Abby fera tomber la casquette de maman, celle de working-girl et peut-être même sa robe. Yolo. Son travail l’occupe deux heures de plus, avant qu’elle ne délaisse ses occupations pour se pomponner. A l’entrée de son appartement elle observe son reflet, maquille légèrement sa bouche en touche finale et enfile ses hauts souliers lacés. C’est en une vingtaine de minutes qu’elle arrive au Bistro Rogue, en quelques unes qu’elle repère son date qui l’accueille comme il se doit, à la façon d’un gentleman. « You’re looking pretty good yourself. » Polie et légèrement taquine, la jeune femme esquisse un sourire, avant de discrètement détailler le jeune homme. Elle se rappelle le pourquoi du comment ils avaient fini au lit, son costume lui allant à merveille. Abby le suit, lâche un léger rire à sa remarque. « Trust me, you don’t want a toddler who can’t sit still for more than two minutes here. » Elle lève les mains en signe de soulagement. « But thanks, that was sweet of you. » Abby n’est pas dupe, elle voit clair dans son jeu et choisit de se laisser y prendre. Elle laisse définitivement tomber les casquettes de mère et working-girl pour la soirée, et la passer avec le player. Looks like she has a type. « So, how have you been? I was surprised you called. » La jeune femme prend place, alors qu’un serveur vient leur apporter les menus.
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Chris Baccari

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MessageSujet: Re: [r/abby] don't see a point in blaming you. [r/abby] don't see a point in blaming you. EmptyDim 29 Avr - 22:51

Au top de la liste de noir de beaucoup de femmes, Chris n'est jamais dans le coeur de quiconque en tant que quoique ce soit réellement. Il n'est pas aimé, c'est un fait qu'il transporte avec lui, peu importe où il se rend, dans quel pays. Son job l'amène a voyager, vrai. Mais toutes les femmes semblent le voir de la même façon, un playeur. Ce qui l'est, lui-même l'avouerait sans problème. Être sérieux, gentleman, est synonyme d'impossible dans leur mentalité. Un seul geste courtois, poli, semble déplacé, non-naturel. Il le réalise en voyant le visage d'Abby, les sourcils, sa posture, tout indique la surprise, l'étonnement. Un crève le coeur qu'il décide d'ignorer pour son propre égo personnel, merci. À sa plus grande déception? son plus grand bonheur? peu importe ou mène cette phrase, il est surpris de ne pas voir sa fille. Il pensait que la suave mère penserait à ce rendez-vous de dernière minute comme à un souper pour rattraper le temps perdu, pas comme un éventuel réel rencard. Certes, il est heureux qu'elle le voit ainsi. La porte pour retourner dans les draps l'un de l'autre vient de s'entrouvrir et il est là pour l'ouvrir à la voilée et se précipité dans la chambre à couché, expérience qu'il a un semblant trop apprécié. Le pattern des amants qui tombent amoureux, le cliché plutôt, qu'il ne rendrait pas réel. Non pas qu'elle n'est pas remarquablement sensuelle, adorable ou déterminé. Seulement, Chris se tient le plus loin possible des éventualités qui veulent de lui en couple et stable avec une femme. Mauvaise idée. « You forgot I train a surfer on red bull all the time. And she doesn't drink those. » Dit-il à l'intention se la douce qui semble vouloir ne se préoccuper que de quoi choisir sur le menu et non d'un enfant à la charge. Dorénavant à table, il glisse sa chaise comme un gentleman, il abuse un peu trop, pousse le jeu plus loin qu'il ne l'avait jamais fait. Mais pourquoi s'ennuyer lors de ses journées de vacances, si au lieu de, il pouvait passer du bon temps avec Abby, par exemple? Pas question de revenir sur l'annonce qu'il avait lui-même un enfant, quoique un peu plus vieux. Une fille de quinze ans, ça ne s'oublie pas. Des opinions dans une tête déterminé à connaître son paternel. Chris avait demandé du temps, un instant pour souffler, pour maudire dans sa tête son ancienne petite-amie qu'il a, en fin de compte, bien fait de trompé, pour lui avoir caché durant toute ses années qu'il possédait une fille aussi brillante, intelligente et charismatique - forcément, elle retient ses charmes de son père, Chris essaie de ne pas s'en vanter. Il hésite à en parler avec Abby, qu'il a téléphoner pour une raison. Elle a une fille, elle connaît le processus, ce par quoi passe une enfant. Mais plus encore, elle a été une adolescente. Il essaie de ne pas trop penser, ce qu'il semble faire encore et toujours dernièrement. Mais putain, ce n'est pas tous les jours qu'une ex débarque à la porte avec une gosse de quinze ans, clamant qu'elle est la vôtre. « I was almost as suprised I dialed your number. » Il prend place assise, n'hésitant pas une minute pour prendre la carte des alcools, souhaitant commander une coupe de vin simple, n'ayant pas l'envie de boire plus qu'il ne le fallait ce soir, étonnement. Souhaitait-il, inconsciemment être un bon père? Ou un père tout simplement? « Makes a lot of sense though. I've always liked you. Impulsive mom who just want release. » Il tarde à poursuivre, fait tenir en long et en large l'annonce surprise. Peut-être car personne n'est au courant, pas même sa surfeuse, ses parents, ses amis, personne ne sait, ne saura d'ailleurs. « Guess the tables turned after all. Here I am, wanting a little breath. » Il rit de manière sarcastique, avant de poser la carte sur la table, prendre des décisions, il le faisait trop souvent dans sa vie, monsieur control freak. Au boulot et maintenant dans sa vie personnelle. Trop de personnes attendaient quelque chose de sa part, une figure d'autorité, paternelle, un coach. Pour une fois dans sa vie, Chris voulait perdre le contrôle, se laisse mener, ne pas savoir ce qui l'attend. « Do me a favor, which will sound insane coming from my mouth, but choose for me tonight. Everything. Whine, meal. I need to let go and not be in charge » Ce qui est presque un mensonge. Ô, il la laisserait contrôler son repas, ce qu'il ingurgite, mais pas ce qui se passerait après le repas. L'après que quiconque avec une expérience de vie, de cinématographie, pourrait prédire les doigts dans le nez. Chris n'aurait pas appeler l'architecte pour simplement prendre un repas en bonne compagnie. Elle devait elle-même s'en douter, probablement qu'elle s'attendait à se retrouver dans son lit lorsqu'elle a décrocher. Ils sont au même stade, veulent la même chose. Ce qui n'était pas le cas auparavant. « One thing for sure, I will gladly slide you off that dress later, baby. » Il est assis droit dans son siège, un sourire sur ses traits de playeur, d'homme qui ne ferme pas assez sa bouche et dit tout haut ce qu'il pense tout bas.
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