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nothing burns like the past. (river)

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Abby Curtis
make the woman in doubt disappear
Abby Curtis

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nothing burns like the past. (river) Empty
MessageSujet: nothing burns like the past. (river) nothing burns like the past. (river) EmptyMar 24 Avr - 13:59


tell me you love me in october
you said I made you want to change
but here we are, another summer's over
it's all the fucking same

- river & abby -


Elle se passe une main dans les cheveux, les ébouriffant par la même occasion, et ferme les yeux quand ils entrent au contact du vent frais. Les rayons de soleil l’éblouissent quelques peu, le cadre dans lequel elle se trouve, un peu moins. La jeune femme jette un coup d’oeil à l’heure qu’indique son laptop et fronce les sourcils. Il est bientôt dix-sept heures et la petite pile de CV imprimée le matin-même comprend toujours le même nombre de feuilles. Quand elle s’était mise à son compte, Abby n’avait pas forcément pensé aux côtés administratif et logistique de son métier; à l’agence qu’elle avait décidé de quitter, elle n’avait pas à gérer tous ces aspects peu glamour. A la recherche d’une ou un assistant, elle ne sait comment départager les candidats et sent déjà mal à l’idée de devoir en refuser les candidatures de la grande majorité. Abby fait tapoter ses ongles rosés sur le clavier et fait la moue; cette journée n’aura définitivement pas été fructueuse. Elle contemple les post-it collés un peu partout sur son bureau et sur le mur de sa droite, se lève et les passe en revue. Elle arrache ceux qui ne lui servent plus, les roule dans une solide boule et à la manière d’un basketteur, la lance en direction de la corbeille. Au même moment, l’alarme de son téléphone se fait entendre; alarme programmée le matin-même au réveil. Go talk to River. La jeune maman se retient de lever les yeux au ciel, elle n’a aucunement envie de payer une quelconque visite au père de sa fille, qui est accessoirement son ex-mari. Si elle a encore un peu de mal à se faire à l’appellation, elle n’en a pas à admettre que leur relation est finie, morte, irrécupérable - contrairement à lui -. En tout cas, elle a passé trop de temps à se convaincre que c’est le cas pour revenir dessus et à nouveau se jeter dans la gueule du loup. Abby s’empare de son sac à main, ferme le bureau à clé et quitte le building en un rien de temps. A l’origine de sa démarche décidée, un dessin de leur fille qui l’a d’abord intriguée, laissée confuse et enfin énervée, une fois les explications enfantines de la concernée données. A ce moment-là, elle s’était retenue de faire une quelconque remarque devant la gamine; elle s’était même retrouvée dans une position où elle ne savait tout simplement pas quoi lui dire. Se remémorant la scène, la colère d’Abby remonte et elle se ressent dans ses pas. Arrivée à sa voiture, elle dépose ses affaires côté passager, conduit plus ou moins prudemment avant d’arriver à destination; certainement la boîte de nuit la plus prisée de Brisbane. Il est tôt mais la jeune femme connait bien les horaires de travail de chacun, il fut un temps où elle faisait partie des visages familiers. Alors quand elle arrive devant l’endroit où un vigile se tient malgré que l’endroit soit fermé, il lui ouvre la porte sans sourciller, elle le gratifie d’un léger sourire. Elle fait de même avec le personnel qu’elle croise et prend l’ascenseur jusqu’à un certain étage où le propriétaire des lieux doit se trouver. Elle fait claquer ses échasses sur le marbre blanc qui conduit à un espèce de sas, où se trouve la secrétaire de son ex-mari. « Mrs Grimshaw, I don’t think he’s available r… » Elle ne relève pas l’erreur cette fois-ci, sa colère pour ce qu’elle est persuadée d’avoir compris a pris le dessus sur tout le reste - même sur ça -. « Well, i’ll make him available. » Elle pousse la porte du bureau pour trouver un River pas si occupé que cela, téléphone en main. « That’s Lottie’s latest drawing. » Elle ne prend pas la peine de le saluer, pas cette fois, non. Elle prend uniquement la peine de lui tendre le dessin de leur fille. Sur le papier blanc, on devine une femme uniquement vêtue de ce qui s’apparente à une culotte. « She said it’s the pretty lady at dadda’s. » Elle croise les bras, le regard est sévère. « What the fuck, River? » Elle hausse les épaules, marque son incompréhension.
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